On jongle les identités créées et détruites à chaque moment pendant le passage du temps, s'accrochant à cela qu'on appelle arbitrairement "l'autre", oubliant soi-même et l'autre dans le même geste. On est habitué à la navigation de ce terrain d'aporia qui est taillé (regardez la taille de la cicatrice, regardez les douves). C'est notre patrie, notre Sion.
... steigt sie langsam immer höher
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